Le moment où on prend la décision de perdre du poids, que ce soit par un régime ou par un changement drastique d'habitude de vie, est toujours un moment délicat je ne vais pas vous mentir.
Il faut savoir se faire violence, faire un travail sur soi très lourd, car, dans cette société anxiogène où tout nous pousse d'une part à la frustration et d'autre part à manger (multiples enseignes qui rivalisent de techniques de publicité et qui jonchent nos rues et nos centres commerciaux) le lien est vite inconsciemment fait entre: stress et/ ou frustration et compensation dans la nourriture.
Regardez, souvent, lorsque ça ne va pas, on se venge sur la bouffe et si possible de la bien grasse.
Souvent aussi, on remarquera qu'une personne en trouble ou en manque affectif aura plus tendance à manger, à manger souvent, à manger beaucoup, à manger gras. C'est comme une sorte de mécanisme de défense naturel: inconsciemment -ou consciemment- je ne me sens pas bien, je me sens en insécurité, quelque chose ne va pas dans ma vie, donc, comme si j'avais conscience de manquer de quelque chose, je vais faire en sorte de ne rien manquer sur le plan nutritionnel.
Bref, c'est très long à expliquer et je n'entrerai pas dans les détails, donc pour résumer: on mange quand ça ne va pas et même lorsque ce qui nous tracasse est un petit souci.
C'est pourquoi, je vous conseille vivement d'attendre une période propice pour entamer un régime ou un changement de vie. Il faut attendre une période où le stress est absent ou réduit, une période souvent de célibat car le couple pousse à la sédentarisation et aux écarts alimentaires. Il faut s'entourer de ses amies, et peut-être faire ce régime avec quelqu'un en même temps (attention, quelqu'un avec lequel vous ne vous sentirez JAMAIS en compétition) pour vous motiver l'une l'autre. Car le stress fait grossir, se sentir mal peut pousser à craquer et à commettre de nombreux écarts et avoir des soucis occupe l'esprit tandis que notre esprit a besoin de toutes ses ressources pour contrôler notre appétit et réflechir à comment se faire plaisir de façon moins calorique.
Maintenant mesdemoiselles, bien dans votre tête, bien dans votre corps, vous êtes fin prêtes à changer de vie! ! ! :)
STAY POSITIVE!
Lys
Il faut savoir se faire violence, faire un travail sur soi très lourd, car, dans cette société anxiogène où tout nous pousse d'une part à la frustration et d'autre part à manger (multiples enseignes qui rivalisent de techniques de publicité et qui jonchent nos rues et nos centres commerciaux) le lien est vite inconsciemment fait entre: stress et/ ou frustration et compensation dans la nourriture.
Regardez, souvent, lorsque ça ne va pas, on se venge sur la bouffe et si possible de la bien grasse.
Souvent aussi, on remarquera qu'une personne en trouble ou en manque affectif aura plus tendance à manger, à manger souvent, à manger beaucoup, à manger gras. C'est comme une sorte de mécanisme de défense naturel: inconsciemment -ou consciemment- je ne me sens pas bien, je me sens en insécurité, quelque chose ne va pas dans ma vie, donc, comme si j'avais conscience de manquer de quelque chose, je vais faire en sorte de ne rien manquer sur le plan nutritionnel.
Bref, c'est très long à expliquer et je n'entrerai pas dans les détails, donc pour résumer: on mange quand ça ne va pas et même lorsque ce qui nous tracasse est un petit souci.
Maintenant mesdemoiselles, bien dans votre tête, bien dans votre corps, vous êtes fin prêtes à changer de vie! ! ! :)
STAY POSITIVE!
Lys
Tu as tt à fait raison, je vien de reprendre ma vie en main et ton blog m'aide bcp =)
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